Azenor [ Admin ]

Fiche d'identité.

Nom et Prénom: Azenor. Son nom a été oublié…volontairement ?
Surnom: On ne lui donne aucun surnom.
Age : 125 ans
Poste: Ambassadrice/Espionne
Race: Aasimar
Liens: Assez disparates. Elle connaît les deux cours et entretien des rapports plutôt bons avec eux. Néanmoins c'est une rebelle et elle est plutôt proche de Lui (Zaïkel). Elle est aussi le lien entre les rebelles et Sivoïar. Le prince (Esty) sait pour qui elle est et la protège anonymement. Azenor n’est pas du tout au courant, loin de se douté qu’elle est découverte par Esty. De part ses origines en rapport avec le spectacle elle apprécie beaucoup Sivoïar et surtout son don pour la musique.
Clan : Elle n’a normalement aucune appartenance, en tant qu’ambassadrice, lien entre les deux clans ennemis. Mais en réalité (secrètement bien sur !), elle est une membre importante des Rebels.

Votre personnage.

Caractère : Azenor est très sociale et souriante, elle arrive à se faire très bien accepté partout, en quelques sourires et quelques mots elle désactive la plupart des méfiantes. Si elle est plutôt calme dans la plupart des cas , surtout lors de son travail d'espionnage ou d'ambassadrice, lorsqu'elle se met en colère c'est plutôt violent et elle se souvient de vous durant longtemps, même si la vengeance viendra peut-être tard. Elle réfléchit à tout en fine stratège et n'hésite pas à se montrer calculatrice et à manipuler la cour. De part son passé elle ment très bien et adaptent rapidement les différents rôles qu'elle joue à la situation. Elle a beau être plutôt excentrique et rieuse elle écoute souvent autant qu'elle parle voire plus, s'attachant à ne pas perdre une seule information importante. Azenor ne se démontera jamais devant une attaque mais réfléchira soigneusement à la meilleure solution.
Mais malgré sa joie de vivre apparente et sa bonne humeur, elle est tout de même irritable. Car un côté de caractère semble caché… Avouons donc que lorsqu’elle le souhaite, Azenor peu faire preuve d’une caractère monstrueux et d’une mauvaise humeur affolante. Dans ces cas là, elle deviendra la pire des furies : impulsive colérique… et se servant parfaitement bien d’une stratégie aussi maligne que cruelle pour arriver à ses fins !

Physique: Une taille moyenne, une silhouette très fine, Azenor semble très frêle, mais ne l’est pas pour autant. Mince, donc, mais sans pour autant être maigre, Azenor n’est pas dépourvus de forme. Bien qu’elle ne soit pas très grande, la jeune Aasimar fait preuve d’une grande prestance, et s’impose par bien plus que sa taille.
Son visage est assez commun et passe-partout, bien qu’elle est un minois plutôt mignon. Pas désagréable à regarder, le visage d’Azenor pétille d’une joie et d’une étonnante clarté. Sa peau blanche est légèrement teinté d’un hale naturel. Parlons à présent de ses yeux, aide principal lorsqu’elle joue son rôle d’ambassadrice. Car ils sont bien plus que deux grands yeux brillant d’un brun presque doré ! Avec leur aide, elle est capable de faire passer n’importe qu’elle émotion. Quand à ses cheveux, ils sont très lisse, blond/châtain clair et s’éclaircis au soleil. Ils lui tombent la poitrine, puisqu’elle les laissent presque toujours détaché.
Désirant rester le plus neutre possible, elle prend soin à n’avoir aucun signe distinctif physiquement. Rien ne la distingue donc des autres.
Azenor aime les vêtements quelques peu excentrique, portant des corset, bustiers accordés à des longs jupons de couleurs chatoyante, satiné… Parfois même des gants en dentelles… mais jamais on ne la verra vêtus comme les autres femmes d’Azilis.

Arme favorite/Type de combat: Son type de combat est simple : La stratégie. En tant qu’ambassadrice, elle mène un véritable combat, et officieusement espionne pour les Rebels, c’est encore plus compliquer. Cependant, elle connaît de nombreuses techniques qui se rapprochent des arts martiaux, ainsi qu’une maîtrise (limité) de l’épée. Elle maîtrise parfaitement l’art du couteau à lancer, ayant du en apprendre la technique lorsqu’elle faisait partie de sa troupe…

Signes particuliers/Autre: Elle ne porte aucuns des signes des deux clans, car cela serait certainement une offense… mieux encore, elle en a aucune envie ! Elle garde une fine cicatrice sur l’omoplate, marque de ses premiers entraînements à l’épée… et surtout d’un énorme raté…

Joueur.

Code Règlement: [ Bon ]
Taux de présence: 5/7 jours
Ce que vous aimez sur ce forum: Tu me demande sa à moi ? Sans rire !
Ce que vous n'aimez pas: Re : Tu me demande sa à moi ? Sans rire !
Où avez vous trouvez le lien? Par magie certainement. N’est-ce pas Mara ?

Histoire

Azenor, contrairement à ce que la plupart des gens pourraient pensés, n’est pas née à Azilis, mais bien loin des terres qui sont aujourd’hui en proie à la guerre Requiem/Nightmare. Et la route qui sépare le lieu de sa naissance à son lieu de vie actuel représente le chemin qu’elle à parcourut : long, difficile, tortueux…
Sa mère se nommait Ynwée, Aasimars qui avait quittée très tôt le nid pour vivre chez un peuple Elfique, elle avait été très surprise de rencontré un autre Aasimar. Lui, portait le nom d’Aarmon, et était l’un des plus grand renégat de son peuple, la honte suprême le déshonneur… Contrairement au code d’étique de son peuple, Aarmon aimait le mal, et mettait toujours un point d’honneur à distribué l’horreur autour de lui… Et pour cela, il avait été banni de la communauté Aasimar. Et pourtant, Inwée ignorait complètement son identité, elle savait simplement qu’il était un homme de sa race, et elle tomba très vite sous son charme. Plusieurs années passèrent ainsi, et le couple Aasimars vivait heureux parmi les Elfes, et étaient très apprécier… Jusqu’au jour où un troisième Aasimars pointa le bout de son nez… malheureusement. L’inconnu lui, reconnu immédiatement Aarmon, et fit par de sa réelle identité à Ynwée. Sous le choc, elle ne crut pas un instant son amant capable des barbaries racontées par son semblable… mais elle en fut bien vite confronté à la triste réalité lorsque Aarmon fit face à l’inconnu en lui portant un coup fatal. Le sang souilla alors Ynwée, qui vit le véritable visage de son amant, dans la lueur de ses yeux…
Plusieurs jours après, Aarmon était partis, disparut. Il l’avait laisser seule. Et cette douleur empira encore, lorsque la jeune Aasimar se rendit compte qu’elle attendait un enfant. Se fut certainement la pire période qu’elle n’eut jamais passé. La difficulté qu’elle eut à passer cette épreuve s’envola cependant dès qu’elle vit son enfant : Il faisait nuit lorsqu’elle accoucha. Une nuit noire, sans lune, mais cependant ravivée d’une lueur vive et joyeuse par la venue d’un enfant. Les Elfe fêtaient déjà la naissance… et lorsqu’Aznor poussa son premier cri, les Elfes la suivirent… Ynwée sembla très vite se rétablir. Toute sa douleur s’était évanouie dans l’amour qu’elle portait à sa fille. Azenor avait donc été comme un antidote, et baignait dans l’amour et la joie. Elle n’était pas l’enfant d’un meurtrier, mais d’une Aasimar pleine de vie, et aimé de tous. Et pour cela, personne n’était hostile à sa venue.
C’est dans ce cadre idyllique que la petite Aasimar prit le temps de grandir et de s’épanouir. Toute petite déjà, elle apprit les notions de communauté, et surtout, elle n’était pas le centre du monde, mais une infime partie de celui-ci, pourtant indispensable…

Mais il était une chose qu’elle ignorait encore, c’était que la vie avait tendance à arracher tout les bonheurs d’une personne, et lorsqu’elle s’acharnait sur quelqu’un elle n’en ratait pas une ! Et c’était certainement ce qui arrivait pour Ynwée, car bien vite, son bonheur, ainsi que celui de sa fille fut brisé en quelques instants. La maman avait décider que Azenor, alors âgé de 5 ans était asser grande pour connaître enfin son vrai peuple. Alors, elles quittèrent les Elfes, pour une durée indéterminé… le voyage serait long, mais elles reviendraient. Du moins, c’était ce qu’elle pensait.
Après plusieurs jours de voyage, une ombre menaçante, ou une sombre malchance s’abattit sur les deux Aasimars. Elles étaient alors bien loin de toutes civilisations, voyageant avec un groupe varié… et c’est certainement cela qui attira les voleurs. Un attaque rapide, encerclé sans même s’en être rendu compte, et les voleurs les avaient cernés… Ils prirent toute ce qui avait de la valeur, et ne se privaient pas des femmes et des enfants : ainsi, le marché aux esclaves leurs apporteraient une certaine richesse, sans prendre aucun risque… Même si ils prirent aussi Ynwée, les enfants partirent dans une toute autre direction… ainsi plus jamais la maman ne revit sa fille…

Azenor ne se rendit pas compte de ce qui lui arrivait, bien trop petite, mais en tant qu’Aasimar, elle avait énormément de valeur si l’on tombait sur une personne naïve, qui croiraient sans mal que l’enfant était une « descendante mortelle des Dieux », comme le disait la légende. Elle fut donc plutôt bien traité, du moins, bien mieux que les autres enfants déjà capturé.
L’enfant, une fois arrivée au marché d’esclave avait une valeur certaine. Immédiatement, la petite fille fut acheter par un homme très riche, et certainement adulé pour son pouvoir. D’une allure sombre, il effraya longtemps l’enfant, qui passa un seul à se demander les raisons de l’achat donc il avait fait preuve en son égard. Elle n’était pas maltraité, loin de là ! Azenor avait pris place dans les cuisines de l’immense domaine de cet homme étrange dont tout le monde ne disait que du bien. A 7 ans, elle passait sa vie dans les cuisines à écouter les histoires de la cuisinière, une bonne femme rondelette et bonne vivante. Azenor ne faisait absolument rien de ses journées, à par rire et discuté. Elle semblait avoir grandit bien avant l’age, et pour cela, elle faisait preuve d’une grande maturité. Au fil des années, elle prenaient de l’assurance au sein de ce domaine, et s’activait de plus en plus à des activités divers et variées, et sortait de plus en plus souvent. Mais à chaque fois qu’elle rencontrait l’homme, elle s’interrogeait toujours du pourquoi … Cette personne étrange semblait être attacher à Azenor, l’enfant le voyait dans son regard, mais elle ne le connaissait pas. A 11 ans, au cour d’une conversation avec un domestique, elle devina enfin la raison pour laquelle il l’avait acheter et prenait tant soin d’elle sans même qu’elle s’en rende compte. L’année de la vente d’esclave, l’homme avait perdu sa femme et sa petite fille de 4 ans, un an plus jeune qu’Azenor à cette époque…

La jeune Aasimar vit alors son mode de vie devenir bien plus intéressant. Plus les jours passaient, et plus l’envie de profité de sa situation l’envahissait. Puisqu’elle avait la possibilité de vivre comme une reine, alors pourquoi ne pas saisir cette chance ? Immédiatement, elle abandonna sa cuisine, et fréquenta la bibliothèque de l’homme, qu’elle savait souvent là. Et très vite, elle lui adressa la parole, pour la première fois de sa vie… Il y eu de long mois avant que l’homme ne prenne enfin confiance, et réponde à l’enfant. Rapidement, il se prit d’un sentiment très fort pour elle, certainement celui d’un père à sa fille. Azenor avait réussit, elle s’était fait une place, et pas la moins bonne. Dès lors, elle ne quittait plus l’homme, qui achetait et couvrait Azenor de cadeau, magnifique et hors de prix. Finalement, elle apprit à être heureuse, et même si elle profitait de la crédulité de l’homme, elle était amplement satisfaite de sa nouvelle vie. A l’age de 15 ans, elle semblait épanouie, heureuse, et jouissait d’une grande renommée. Mais une nouvelle fois, le destin sembla ne pas vouloir la laisser aller plus loin, alors qu’elle entrait dans la bonheur… Un noble franchit un jour la porte du domaine. Il était réputé pour avoir eut de nombreuses femmes, et toutes aujourd’hui étaient mortes, où avait lassé leur mari. Il semblait alors à la recherche d’une nouvelle épouse, et avait jeté son dévolu sur Azenor, qui refusa catégoriquement. L’affront était trop grand… mort de colère, il lança un défi au « père adoptif » d’Azenor, qui ne laissa pas échapper l’occasion de botter les fesses de cet homme infect. Malheureusement, rien ne se passa bien. Le défi tourna vite au drame, sans que personne ne se doute de rien. Le verdict tomba bien plus tard, mais le « père » d’Azenor avait été empoisonner avant le défi. Monstrueusement affaiblit, il fut foudroyer d’une douleur insoutenable, dont profita l’infect… et Azenor assista à la mise à mort…

Trois jours après le drame, la jeune Aasimar se tenait grelottante dans une vieille couverture. Les rues étaient désertent, et le froid insoutenable. Et pourtant, elle avait fuis dès que son « père » était tombé à terre. Le cœur déchiré par la mort affreuse qu’elle lui avait fait subir, elle s’était mis en tête de se prendre en main, de fuir l’infect et de ne surtout pas tomber dans ses filets. Maintenant, elle était pitoyable, seule et frigorifié… Et pourtant, la chance sembla enfin lui tendre une main. A ce moment là, dans le silence neigeux, un son étrange parvenu à ses oreilles, et en redressant la tête, elle aperçut une dizaine de roulotte. Une troupe de Saltimbanque passait par là… Curieuse, oubliant sa tristesse l’espace d’un instant, la jeune Aasimars s’approcha lentement, jusqu’à ce qu’un jeune garçon vienne à sa rencontre. Il n’était pas plus grand que trois pomme, mais souriait comme un ange à Azenor qui sentit son cœur se réchauffer. Il posa alors une question qui changea certainement la vie d’Azenor, lui donnant un nouveau tournant. Cette ridicule phrase n’était que : « Tu a froid madame ? ». Après cela, l’enfant avait attraper la main glaciale de la jeune femme et l’avait directement attiré dans l’une des roulottes. Immédiatement, Azenor fut accueillit avec un bon repas. La matronne avait beau lui jeter des regards menaçants, son enfant s’était pris d’affection pour Azenor. Alors, après une très long conversation, la jeune Aasimar accepta une place dans la troupe de Saltimbanque.

Des années plus tard, la troupe avait parcourut des ville et des régions, jusqu’à traverser des pays entiers ! Azenor avait trouver une place dans cette troupe, même si cela n’avait pas été facile au départ. Uniquement préposé au nettoyage, l’Aasimar avait ensuite très vite appris. Accepter de tous, beaucoup s’occupèrent d’elle, toucher par la lueur de lassitude dans ses yeux, près même à la ravivé… Azenor avait depuis, beaucoup changer. Elle s’était illuminé, avait appris la joie véritable, réapprit la vie en communauté, et aimait la simplicité, mais aussi l’originalité de la vie de Saltimbanque. Aussi elle sut rapidement rendre coup pour coup et ne jamais oublier, aussi bien que se faire discrète et passe partout lorsque les circonstances l'imposent... Devenu acrobate, danseuse, dompteuse parfois, elle s’attaquait depuis peu au théâtre où elle semblait excellée. Mine de rien, elle savait très bien se fondre dans la masse, et apprenait à vivre en se déplaçant et en se mélangeant à divers milieux qui lui voulaient souvent du mal très jeune. Au sein du groupe c'était une grande famille mais en dehors c'était plus souvent des jets de pierre qu'autre chose. Elle devient rapidement une des comédiennes principales de sa troupe. Il n’y avait pas à dire : malgré les aléas de sa vie difficile, elle s’épanouissait enfin, devenant Azenor, réellement. Elle apprenait à se connaître, et à prendre confiance en elle. Faisant partie d’une famille fêtarde et aimante, lier dans n’importe quelle circonstance, elle se sentait vivre, exister…
Les années passaient, et Azenor, comédienne principale de la troupe prenait un plaisir fou à changer de personne, les interprétant avec perfection. Elle n’avait aucun mal à changer de peau, c’était cela qui la rendait si précieuse… Elle n’avait alors qu’une hâte, découvrir une cité dont on lui avait souvent parler : Azilis. Souvent, les habitants des ville où elle passait demandaient si ils étaient passer, et pourtant jamais elle n’avait vu Azilis, et l’Aasimar, curieuse, voulait y pausé un jour les pieds.

Vœux exhausser, mais très vite regretter. Sur un chemin qui menait à Azilis, la troupe rencontra les armées de la ville, mener par le père des deux sœurs nouvellement connus. Celui-ci, exigea alors un spectacle… et malgré tout le cœur que la troupe y mis, il sembla déplaire à l’homme royal. Il déclara alors que la troupe ne valait pas son renom, et qu’en territoire Azilis, il était honteux d’accueillir de tel imposteur… la mort était son seul verdict. Azenor chercha à sauver sa famille en négociant comme elle savait si bien le faire, même si faire face à la royauté était plus difficile que prévus. Cependant, le grand homme sembla déceler les qualités d’Azenor, et une idée lui passa par la tête… Ainsi la troupe pu repartir, mais sans sa « vedette », qui fut condamné à servir le royaume d’Azilis.
Elle entra alors pleinement dans la haute société d’Azilis. Cependant, elle passa avant deux années à « étudier » les différents protocoles, l’histoire de la ville, et surtout son présent. Alors qu’elle n’avait jamais rencontré personne, elle connaissait les personnages les plus importants. Son rôle était déjà déterminé : elle serait ambassadrice entre les deux clans existant. Les deux années passés, elle fut introduite dans son nouveau rôle, celui qu’elle tiendrait certainement pour la grande moitié de sa vie à présent. Mais elle n’avait alors aucune idée de la tournure qu’allait prendre celle-ci…

A présent, Azenor est une femme qui côtoie les deux cours, connaissant tout leur secret, et faisant partie intégrante de leur vie… Inutile de dire que son adhésion chez les rebelles fait à présent d’elle un certain atout… Comment va elle évoluer ? Pour la seule fois de sa vie, Azenor semble maîtriser totalement les événements. Mais elle est trop bien placer pour savoir que le vent tourne vite…